C’est l’été, les étudiants cherchent à gagner un peu d’argent pour aller le dépenser en vacances et en sorties diverses. Les idées ne manquent pas et les petits boulots se trouvent plus facilement qu’un vrai contrat à durée indéterminée.
Alors que la crise économique rend très difficile le marché du travail, les étudiants ont besoin d’autre chose : un petit boulot même ingrat, au moins payé au Smic et pas supérieur à deux mois, pour ensuite en profiter avant la reprise des cours.
Quelques idées de petit boulot
Sans pour autant démarcher les entreprises et avoir un contrat 35h par semaine ou faire équipier dans une chaine de restauration rapide, des petits jobs permettent de nouer des liens et d’apprendre à devenir patient et pédagogue.
Baby sitting, soutien scolaire et cours de langues sont généralement connus et se dénichent par une petite affiche dans la boulangerie ou autre commerce du quartier. Le bouche à oreille fonctionne très bien et une première expérience sera plus difficile à obtenir que de reproposer ses services pour une année supplémentaire.
Ceux qui ont une formation technique ou des loisirs compatibles peuvent facilement devenir coach sportif, garder des animaux, aider aux devoirs, traduire des documents ou un CV, photographier un mariage ou vendre en tant que saisonnier pour la forte activité d’été.
On oublie souvent que bien des gens ont parfois besoin d’un coup de main : monter un meuble Ikea, dépanner un ordinateur, déplacer ce piano qui encombre le salon, vérifier les niveaux de la voiture, tondre la pelouse d’un grand terrain ou déblayer la neige en hiver, les idées ne manquent pas. Et ce ne sont pas forcément que les personnes âgées qui seront intéressées par ce genre de services.
Mais quand le bouche à oreille ne suffit pas ou qu’on ne connait pas les bonnes personnes, on peut utiliser internet et les sites de petites annonces, le service est généralement gratuit.
Côté légal, regarder les chèques emploi service (CESU) ou ouvrir une auto-entreprise (lire Comment devenir auto-entrepreneur).