Ouvrez ouvrez la cage aux oiseaux
Regardez-les s’envoler c’est beau
Les enfants si vous voyez
Des p’tits oiseaux prisonniers
Ouvrez-leur la porte vers la liberté.
Chantait Pierre Perret, ce qui pourrait s’appliquer pour cette calopsitte enfermée dans un jardin d’hôtel en République Dominicaine.