Marilyn Manson n’a pas tué de nouveau poussin ou pissé sur la foule lors d’un de ses concerts, il se diversifie simplement vers des produits dérivés. Il a mis au point, en collaboration avec un petit producteur suisse, sa propre variété d’absinthe. Le rockeur a avoué être accro à la fée verte, car d’après lui c’est le seul alcool qui ne lui fait pas changer sa vision du monde lorsqu’il en boit (boisson qui pourtant, il y a un siècle, était jugée comme rendant fou et criminel, faisant de l’homme une bête et menacant l’avenir de notre temps). La Mansinthe, produite à actuellement six milles bouteilles, devrait avec cette quantité à peine suffire au chanteur ! On attend les prochaines, commercialisées contre une trentaine d’euros, bien sûr uniquement dans les pays où ce spiritueux est autorisé. La loi française donna l’appellation « spiritueux aromatisé à la plante d’absinthe », liqueur qui titre pourtant entre 45° et 75°.
« When I get old », Manson imagine son avenir ainsi. « This is kind of William S. Burroughs-inspired, but it’s kind of how I see myself when I’m old, if I get there. »