L’étude Interphone sur les conséquences du téléphone portable n’est pas encore totalement achevée, mais la responsable Interphone France a déclaré : « il pourrait y avoir quelque chose au niveau neurinome (tumeur d’un nerf), gliome (tumeur du système nerveux central) et dans une moindre mesure glande parotide (la plus importante des glandes salivaires) ».
L’étude porte sur treize pays depuis dix ans, malheureusement pas très probante pour l’instant : « l’étude est « un peu trop précoce, du fait de la faible durée d’usage du téléphone portable ».
L’impact biologique sur le corps humain est indéniable, mais de là à en déduire certains cancers…