L’agence fédérale de renseignement américaine propose « tout ce qui peut permettre de se faire des amis et d’influencer les personnes », déclare un agent de la CIA qui a travaillé en Afghanistan, cité par le journal Washington Post. Après les armes, couteaux de poche, jouets, fournitures scolaires, visas de voyage, soins médicaux (dont des interventions chirurgicales) et bien sûr rémunérations en argent sonnant et trébuchant, c’est au tour des petites pilules bleues d’être la monnaie d’échange avec les informateurs locaux. Ceux-ci, souvent âgés, préfèrent (se) combler de plaisir avec leurs femmes et apprécient donc de recevoir du Viagra plutôt que de futiles gadgets.
En exemple est cité le changement d’attitude d’un influent chef militaire afghan âgé de 60 ans, plutôt méfiant vis-à-vis des Américains : « Il est venu nous voir tout épanoui et après cela nous pouvions faire ce que nous voulions dans sa zone ». AFP
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